Paisible Uruguay

Dios Mios ! Le temps passe, pendant que notre voyage défile. Ce n’est pas encore la fin, mais nous commençons à y penser, peut être juste le début de la fin.

 

Alors on accélère le beat, à contre cœur, mais c’est pour en saisir un maximum.

 

Les kilomètres s’enchainent, les paysages aussi, on s’attarde uniquement sur ce qui nous plait. 

 

Petit nouveau, l’URUGUAY (18ème pays), on file directement sur la côte Atlantique (à Biarritz) en évitant la capitale, Montevideo.

 

On ressent tout de suite une ambiance plus calme, les pays se suivent mais ne se ressemblent pas.

Paisible Uruguay, ici les charrettes et chevaux côtoient les voitures dans une circulation sans précipitation. La courtoisie est de retour entre automobilistes, on aurait presque oublié que ça existe. 

 

Un arrêt pour la nuit sur la péninsule de Punta Ballena.

 

Le soleil n’attendait que nous pour se coucher dans l’océan.

 

L’écomusée Casapueblo immaculé de blanc se caractérise par son architecture particulière aux formes naturelles en parfait accord avec son environnement serein.

 

Nous restons le temps d’une fin de semaine à Punta del Este, réputée comme la ville qui accueille quelques maisons de stars Zidane, Shakira et d’autres. 

 

Ici, nous posons avec la célèbre main du noyé qui dans un dernier geste d’espoir tente de se raccrocher, à quoi, à qui ??

 

 

 

 

Et c’est Jean Lou qui a droit à sa séance photos sur un pont, qui pour montrer la

flexibilité du béton, a été construit en forme de vague ondulante.

 

Original et surprenant.

 

On continu notre exploration côtière.

 

Les pistes uruguayennes sont plutôt de très bonne qualité et lorsque l’une d’elle pour rejoindre la laguna Rocha se fini, pas de problème il y a un petit traversier rustique et gratuit que amène de l’autre côté.

Nous commençons par l’ouest de la laguna avec un bivouac nature où seul le guadaparque viendra nous voir pour papoter un peu nous donnant de précieux conseils pour visiter la région.

 

Ce n’est pas tout Mr le guadaparque mais ce soir c’est asado et on ne voudrait pas louper la cuisson de notre poulet mariné  !? 

On commence aussi à découvrir la faune locale, dont de gros oiseaux de calibre improbable, flamands roses, capibaras, loutre gigantesque.


La plage ne déborde pas de vie, on y croise une multitude de pingouins échoués, une tortue qui n’a pas du survivre à son trop difficile travail de mère pondeuse.

Visions un peu tristes malgré de beaux paysages et un très beau littoral sauvage. 

 

 

Nous faisons des arrêts par les différents villages de pêcheurs qui ponctuent la côte et à Valizas, on tombe sur la maison de nos rêves, les pieds dans l’eau, qui en plus est à vendre.

On se regarde avec Arnaud, pourquoi ne pas poser nos valises à Valizas?¡ !¿


Soyons fous jusqu’au bout ! On espère que vous serez nombreux à la crémaillère…

 

 

 

Trêve de plaisenterie, nous empruntons la ruta 16 en terre, qui traverse une magnifiques palmeraie.

La magie est totale lorsque les palmiers défilent en musique devant le soleil couchant. 

 

Retour sur la côte où nous faisons une pause dans le Parque National de Santa Teresa. Comme souvent il y a des surfeurs dans les eaux trop fraîches en cette saison et un peu agitées.

 

Les baleines ne sont pas encore là mais de grands dauphins viennent faire le show et passent assez près des surfeurs.

 

Le parc est à l’image du pays, paisible et il est très agréable de se promener sur les plages, de prendre quelques clichés du fort ou de la faune du coin.

 

Nous faisons un dernier arrêt à Punta del Diablo, autre village de pêcheurs en mode no stress.

 

Nous quittons ce pays enchantés et c’est peu dire.

 

Il y a des pays comme ça qui sur la carte ne payent pas de mine par leur taille ou leur situation géographique mais qui ne sont que du bonheur pour nous.

 

Sans oublier les uruguayens, très sympathiques et avenants avec qui le maté prend encore plus son sens qu’en Argentine. Toujours un thermos sous un bras et le maté dans l’autre main, que ce soit: en ville, au volant, sur la plage, sur un banc et faisant la queue, plus qu’une coutume, une addiction encré en eux.

 

 

Direction le Brésil avant un autre passage dans le nord de l’Argentine.

 

 

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Commentaires: 4
  • #1

    Princess (dimanche, 02 septembre 2012 07:21)

    Encore un voyage qui ns fait rêver. Mm si je dois l'admettre on attend votre retour pr vs voir et que ns racontiez tt ça. Gros bisous de ns 5

  • #2

    nicole (mardi, 04 septembre 2012 15:21)

    A Biarritz!! à une heure de chez nous, vous auriez pu pousser jusqu'à Pau!! Comme l'Uruguay semble un pays paisible et tranquille, je comprends que les stars viennent s'y reposer, mais surtout investir sur de belles plages encore sauvages et méconnues et donc peu chères.....
    Merci pour ce beau reportage, je vous embrasse bien fort nicole

  • #3

    Lucyle (mardi, 18 septembre 2012 11:07)

    Merci pour les souvenirs que ce reportage a fait remonter en moi. Toujours le même plaisir de vous lire et admirer vos belles photos.
    Bisous de Chauds-Aigues(15), le Remontalou fait moins rêver que l'Atlantique.
    LUCYLE

  • #4

    Emilie (lundi, 08 octobre 2012 10:36)

    Comment ca, ca sent la fin??????!!!!!!
    Le sentiment est partagé........heureuse, mm tres heuresue de votre retour, mais un ptit pincement pour ts ces beaux récits et ces magnifiques photos!
    gros bisous à vous2.